Si le riz est un aliment de base dans un régime sain et équilibré, on ne peut pas oublier de mentionner son eau de cuisson. C’est un élixir précieux à conserver convenablement grâce à ses avantages indéniables. A partir d’aujourd’hui, évitez de la jeter directement dans l’évier et prenez compte des utilisations insoupçonnées de ce liquide considéré à tort comme inutile.
Composition de l’eau de cuisson de riz
Si vous devez conserver l’eau de cuisson de riz, c’est parce qu’elle regorge d’atouts nutritionnels dont il serait dommage de se priver. Elle renferme de l’amidon, des antioxydants, des sels minéraux, des vitamines B et E et des acides aminés.
Pour prendre soin de la peau
Pour prendre soin de la peau, ne dépensez pas inutilement votre argent en achetant les produits cosmétiques agressifs et coûteux. L’eau de cuisson de riz se présente comme le produit naturel parfait pour lutter contre le vieillissement cutané. Elle contribue également à avoir une peau hydratée et élastique. Voici tout ce que vous devez faire.
Mélangez dans un bol 4 cuillères à café de cette eau de cuisson avec la même quantité d’huile de coco. Avec cette préparation, massez les zones concernées par les rides. Laissez reposer pendant 20 minutes. Rincez à l’eau tiède.
Ce mélange peut également calmer les démangeaisons, rougeurs, douleurs ou irritations grâce à son abondance en antioxydants et en acides aminés.
Pour soigner les cheveux
L’eau de cuisson de riz peut s’utiliser sous la douche à la place de votre masque démêlant. En une application, vous aurez des cheveux doux, lisses, soyeux et brillants.
Pour cela, utilisez l’eau de cuisson comme un après-shampoing. Laissez agir pendant 15 minutes et lavez vos cheveux comme à votre habitude. C’est un soin capillaire à un effet garanti.
Pour éradiquer les mauvaises herbes
Si vous êtes à la recherche d’un désherbant efficace, utilisez tout simplement l’eau de riz. Naturelle et économique, vous n’avez qu’à la verser dans les allées et dans votre jardin pour faire disparaître les herbes envahissantes.
